Apparue en 2010 parmi l’un des premiers SUV urbain, le Nissan Juke en est à sa deuxième génération.
Sur les routes depuis 2019, le Juke, deuxième du nom, reçoit une motorisation hybride en 2022 et adopte par la même occasion le nouveau logo de la marque.
J’ai donc pris le volant de cette nouvelle génération le temps d’une semaine !
Sur les routes depuis 2019, le Juke, deuxième du nom, reçoit une motorisation hybride en 2022 et adopte par la même occasion le nouveau logo de la marque.
J’ai donc pris le volant de cette nouvelle génération le temps d’une semaine !
TRÈS LÉGÈREMENT PLUS CONSENSUEL
Le design de cette deuxième génération du Juke réussit le tour de force de perdre de son look trop torturé tout en conservant son originalité si caractéristique.
A l’avant, le Juke perd ses phares perchés sur le haut des ailes et dépassant de celles-ci au profit de deux phares très fins dans la continuité de la calandre.
Le Juke de seconde génération conserve cependant les deux blocs ronds de chaque côté de la calandre.
Autre élément conservé : les poignées de portes arrière dissimulées dans les montants.
C’est au niveau de la partie arrière que le Juke s’éloigne le plus de la première génération pour adopter un design beaucoup plus commun. Il oublie donc les blocs phares en boomerang au niveau de la vitre arrière au profit de blocs rectangulaires tout à fait classiques positionnés au milieu de la malle arrière.
Un petit bequet surplombe le haut du hayon.
A l’avant, le Juke perd ses phares perchés sur le haut des ailes et dépassant de celles-ci au profit de deux phares très fins dans la continuité de la calandre.
Le Juke de seconde génération conserve cependant les deux blocs ronds de chaque côté de la calandre.
Autre élément conservé : les poignées de portes arrière dissimulées dans les montants.
C’est au niveau de la partie arrière que le Juke s’éloigne le plus de la première génération pour adopter un design beaucoup plus commun. Il oublie donc les blocs phares en boomerang au niveau de la vitre arrière au profit de blocs rectangulaires tout à fait classiques positionnés au milieu de la malle arrière.
Un petit bequet surplombe le haut du hayon.
A L’ETROIT
A bord, le Juke conserve son look original le caractérisant et continue donc d’avoir une place à part dans la gamme Nissan.
A l’avant, le Juke se montre accueillant et confortable avec une belle capacité d'accueil. La planche de bord intègre un design tout en rondeur avec trois aérations centrales surplombées d’un écran tactile de petite taille.
L’interface d'info-divertissement n’est pas de la dernière génération et son design n’est pas aussi réussi que sur le X-trail ou le Qashqai mais plus proche de la Leaf. Un gros point faible pour le Juke qui perd en modernité et en ergonomie.
A l’arrière, clairement, le Juke ne se montre pas aussi accueillant qu’à l’avant et les passagers qui s’y trouverons ne devrons pas être trop grands, surtout si nous voulons y installer trois personnes.
Autre gros point noir du Juke, son volume de chargement qui est, il faut bien le dire, que trop insuffisant pour un véhicule de ce gabarit.
A l’avant, le Juke se montre accueillant et confortable avec une belle capacité d'accueil. La planche de bord intègre un design tout en rondeur avec trois aérations centrales surplombées d’un écran tactile de petite taille.
L’interface d'info-divertissement n’est pas de la dernière génération et son design n’est pas aussi réussi que sur le X-trail ou le Qashqai mais plus proche de la Leaf. Un gros point faible pour le Juke qui perd en modernité et en ergonomie.
A l’arrière, clairement, le Juke ne se montre pas aussi accueillant qu’à l’avant et les passagers qui s’y trouverons ne devrons pas être trop grands, surtout si nous voulons y installer trois personnes.
Autre gros point noir du Juke, son volume de chargement qui est, il faut bien le dire, que trop insuffisant pour un véhicule de ce gabarit.
CORRECTE MAIS PAS TRANSCENDANT
Sur la route, le Juke se montre confortable et assez agréable à conduire. La position de conduite est plutôt bien ajustée et permet de rouler dans un très bon confort grâce à ses assises mais également son châssis de qualité et ses amortisseurs permettant de très bien absorber les aspérités de la route.
Les problème du Juke sur la route est son manque de dynamisme le rendant un peu mou et peu amusant au quotidien.
L’hybridation du Juke lui permet d’avoir une puissance cumulée de 143 ch, ce qui reste bien faible pour un véhicule aussi lourd.
Les problème du Juke sur la route est son manque de dynamisme le rendant un peu mou et peu amusant au quotidien.
L’hybridation du Juke lui permet d’avoir une puissance cumulée de 143 ch, ce qui reste bien faible pour un véhicule aussi lourd.
A LA TRAINE
Avec le Juke hybride, Nissan entre bien tardivement, et bien timidement, dans l’ère des SUV urbains électrifiés.
Proposé à partir de 22 190 € pour la version essence de 114 ch et 31 450 € pour la version hybride, le Nissan Juke culmine à 34 750 € pour la version hybride Première Edition.
Avec un look toujours dans l’ère du temps mais des prestations bien en dessous de la concurrence, le Juke obtient la note de 12/20.
Proposé à partir de 22 190 € pour la version essence de 114 ch et 31 450 € pour la version hybride, le Nissan Juke culmine à 34 750 € pour la version hybride Première Edition.
Avec un look toujours dans l’ère du temps mais des prestations bien en dessous de la concurrence, le Juke obtient la note de 12/20.
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