Nous avons tous, d’une manière ou d’une autre une relation avec la Twingo qui est un des modèles iconiques et précurseurs de Renault, il était donc naturel pour elle de passer à l'électrique. Même si cette version arrive un peu tard face à une concurrence de plus en plus active, Renault a pris le temps de concevoir une offre cohérente avec l’attente des clients.
L'ORIGINALITÉ EN MOINS
Qu’on se le dise, cette génération de Twingo a perdu l’originalité qui a marqué ses débuts pour rentrer dans un moule bien plus consensuel face à une concurrence forte. Malgré tout, son look un peu sportif lui permet de rester attractive. LA bonne idée de Renault à été de lui greffer deux portes arrières, facilitant ainsi son utilisation au quotidien sans sacrifier le look de trois portes grâce aux poignées arrières dissimulées à l’extrémité des vitres. Look renforcé par les vitres arrière ne pouvant être ouvertes que par un simple entrebâillement.
Le meilleur moyen pour reconnaître rapidement la version électrifiée de la Twingo se trouve au niveau de sa grille de calandre non plus chromée mais bleue ! Le petit sigle ZE s’affiche quant à lui discrètement sur la partie basse de la vitre arrière qui fait office de hayon de coffre. Je ne suis personnellement pas certain d’aimer ce hayon vitré qui, même s’il est très joli, laisse tout de même craindre un manque de solidité au quotidien à force d’ouverture et de fermeture.
Le rappel du nom de la voiture sur le côté en bas des portes arrière amène à l’ensemble du véhicule une petite touche élégante bienvenue.
Le meilleur moyen pour reconnaître rapidement la version électrifiée de la Twingo se trouve au niveau de sa grille de calandre non plus chromée mais bleue ! Le petit sigle ZE s’affiche quant à lui discrètement sur la partie basse de la vitre arrière qui fait office de hayon de coffre. Je ne suis personnellement pas certain d’aimer ce hayon vitré qui, même s’il est très joli, laisse tout de même craindre un manque de solidité au quotidien à force d’ouverture et de fermeture.
Le rappel du nom de la voiture sur le côté en bas des portes arrière amène à l’ensemble du véhicule une petite touche élégante bienvenue.
UN DEBUT D’EFFORT
A bord de la Twingo, l’ambiance est agréable à l'œil dans cette finition avec les différents inserts rouge mate personnalisables. Certains choix de coloris peuvent cependant vite donner un aspect bas de gamme et triste à l’intérieur vieillissant de la Twingo 3 phase 2 qui n’a pas connu de franche évolution depuis la l’apparition de cette troisième génération de Twingo apparue en 2014.
Cela se fait d’ailleurs sentir sur la qualité des matériaux en plastiques dures partout avec une finition pas très flatteuse et même en dessous d’une Dacia de dernière génération !
En termes de vie à bord, le système d’info divertissement est lui aussi vieillissant mais comme cette génération sera la dernière de la Twingo, je doute que Renault fasse le moindre changement à bord. La Twingo vous transporte tout de même de manière confortable pour les passagers avant. A l’arrière, il ne faudra pas être trop grand car l’espace est extrêmement réduit. L’impossibilité d’ouvrir les vitres arrière autrement que par entrebâillement n’aidera pas à se sentir à l’aise à l’arrière.
La Twingo vous transporte confortablement certes, mais pas dans le calme et la sérénité ! Le sifflement du moteur électrique est extrêmement présent dans l’habitacle ainsi que les bruits extérieurs de part sa très faible insonorisation.
Et pour vos bagages ? Et bien l’autonomie de la Twingo ne permettant pas de partir en voyage, le volume de coffre sera suffisant pour les petites courses quotidiennes mais pas plus.
Cela se fait d’ailleurs sentir sur la qualité des matériaux en plastiques dures partout avec une finition pas très flatteuse et même en dessous d’une Dacia de dernière génération !
En termes de vie à bord, le système d’info divertissement est lui aussi vieillissant mais comme cette génération sera la dernière de la Twingo, je doute que Renault fasse le moindre changement à bord. La Twingo vous transporte tout de même de manière confortable pour les passagers avant. A l’arrière, il ne faudra pas être trop grand car l’espace est extrêmement réduit. L’impossibilité d’ouvrir les vitres arrière autrement que par entrebâillement n’aidera pas à se sentir à l’aise à l’arrière.
La Twingo vous transporte confortablement certes, mais pas dans le calme et la sérénité ! Le sifflement du moteur électrique est extrêmement présent dans l’habitacle ainsi que les bruits extérieurs de part sa très faible insonorisation.
Et pour vos bagages ? Et bien l’autonomie de la Twingo ne permettant pas de partir en voyage, le volume de coffre sera suffisant pour les petites courses quotidiennes mais pas plus.
GO KART
Sur la route, la Twingo est fidèle à ses origines et se faufile partout grâce à son agilité hors pair ! Parfaite pour la ville avec son autonomie de 190 km, celle-ci reste insuffisante pour lui permettre de trop s’éloigner des centres urbains.
Très bridée en mode éco (et un peu insipide), la Twingo devient amusante lorsqu’on la désactive et devient un vrai petit kart avec une très bonne tenue de route ! C’est amusant à conduire mais dans ce cas la batterie se vide encore plus rapidement et les 190 km sont alors loin ! Dommage…
Très bridée en mode éco (et un peu insipide), la Twingo devient amusante lorsqu’on la désactive et devient un vrai petit kart avec une très bonne tenue de route ! C’est amusant à conduire mais dans ce cas la batterie se vide encore plus rapidement et les 190 km sont alors loin ! Dommage…
UNE FIN DE VIE TRANQUILLE
La Twingo est en fin de vie et cela se voit. Le véhicule, même s’il est fun à conduire, reste bien en dessous de la concurrence en termes d’autonomie, de technologie embarquée et de finition. Avec un tarif allant de 21 550 € (hors bonus) à 26 450 € (hors bonus), la Twingo fait payer un peu cher ses services ! C’est pour toutes ses raisons que je lui donne la note de 11,5/20.
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