En japonais, Mirai signifie “Future”. Toyota semble donc croire que les véhicules à pile à combustible à hydrogène représentent l’avenir de l’automobile. La première génération est apparue en 2015.
La deuxième génération, apparue en 2020, repart d’une feuille complètement vierge en termes de design.
J’en ai pris le volant pendant une semaine !
La deuxième génération, apparue en 2020, repart d’une feuille complètement vierge en termes de design.
J’en ai pris le volant pendant une semaine !
UNE GRANDE BERLINE ÉLÉGANTE
Alors que la première génération avait un look un peu torturé très proche de la Toyota Prius, la seconde génération quant à elle change tout et adopte un look beaucoup plus consensuel que Toyota présente comme une berline coupé quatre portes.
Grande berline très plate avec un très long capot, la Mirai est très élégante et au look plutôt imposant (4,975m de long et 1,885m de large).
Une grande calandre imposante traverse la face avant dans toute sa largeur, ce qui assoit le véhicule et contribue fortement à l’impression de largeur de celui-ci.
Les phares, très fins et étirés sur le capot sont séparés en deux parties.
L’arrière quant à lui est plus court avec une ligne plongeante proche d’un aillon, mais il s’agit bien d’un véhicule trois volumes.
Sur la malle de coffre, les feux arrière traversent d’un bout à l’autre le véhicule et seule le logo Toyota coupe cette barre lumineuse en son centre.
Le tout repose sur de très belles jantes de 20” faisant penser à des turbines.
Grande berline très plate avec un très long capot, la Mirai est très élégante et au look plutôt imposant (4,975m de long et 1,885m de large).
Une grande calandre imposante traverse la face avant dans toute sa largeur, ce qui assoit le véhicule et contribue fortement à l’impression de largeur de celui-ci.
Les phares, très fins et étirés sur le capot sont séparés en deux parties.
L’arrière quant à lui est plus court avec une ligne plongeante proche d’un aillon, mais il s’agit bien d’un véhicule trois volumes.
Sur la malle de coffre, les feux arrière traversent d’un bout à l’autre le véhicule et seule le logo Toyota coupe cette barre lumineuse en son centre.
Le tout repose sur de très belles jantes de 20” faisant penser à des turbines.
TECHNOLOGIQUE ET POURTANT OLD SCHOOL
A bord, la Mirai se montre particulièrement accueillante et confortable.
A l’avant, nous sommes installés très bas face à cette imposante planche de bord enveloppant la console centrale. Un vrai cocon !
Les matériaux, de très bonne qualité, sont très agréables au toucher et les détails de finition sont irréprochables.
Très bien équipé, la Mirai embarque toutes les technologies d’aide à la conduite, aide au stationnement, sièges chauffant et ventilés, chargeur à induction… seul le CarPlay sans fil manque à l’appel, il faudra se contenter de la connexion filaire par USB, ce qui n’est pas franchement très gênant.
Le système d’info-divertissement est performant est assez ergonomique. Par contre, dommage que le design de son interface soit un peu old school, cela gâche un peu le niveau de qualité de l’expérience utilisateur.
Idem pour l’affichage des informations conducteur sur l'écran derrière le volant, celui-ci à un look un peu old school.
A l’arrière, la Mirai est suffisamment accueillante pour deux adultes. Un troisième aura la place pour s’installer au milieu mais sera gêné aux jambes par le large passage de transmission. La Mirai est donc à privilégier pour quatres voyageurs et non cinq.
Les adultes prenant place à l’arrière sont bien installés dans des sièges confortables et enveloppants. L’espace aux jambes est bien suffisant. En hauteur, c’est un peu juste pour les plus grands mais suffisant.
Le grand toit en verre, malheureusement fixe, apporte beaucoup de luminosité dans l’habitacle.
Le gros point faible de la Mirai est son volume de coffre insuffisant et bien en dessous de la concurrence.
A l’avant, nous sommes installés très bas face à cette imposante planche de bord enveloppant la console centrale. Un vrai cocon !
Les matériaux, de très bonne qualité, sont très agréables au toucher et les détails de finition sont irréprochables.
Très bien équipé, la Mirai embarque toutes les technologies d’aide à la conduite, aide au stationnement, sièges chauffant et ventilés, chargeur à induction… seul le CarPlay sans fil manque à l’appel, il faudra se contenter de la connexion filaire par USB, ce qui n’est pas franchement très gênant.
Le système d’info-divertissement est performant est assez ergonomique. Par contre, dommage que le design de son interface soit un peu old school, cela gâche un peu le niveau de qualité de l’expérience utilisateur.
Idem pour l’affichage des informations conducteur sur l'écran derrière le volant, celui-ci à un look un peu old school.
A l’arrière, la Mirai est suffisamment accueillante pour deux adultes. Un troisième aura la place pour s’installer au milieu mais sera gêné aux jambes par le large passage de transmission. La Mirai est donc à privilégier pour quatres voyageurs et non cinq.
Les adultes prenant place à l’arrière sont bien installés dans des sièges confortables et enveloppants. L’espace aux jambes est bien suffisant. En hauteur, c’est un peu juste pour les plus grands mais suffisant.
Le grand toit en verre, malheureusement fixe, apporte beaucoup de luminosité dans l’habitacle.
Le gros point faible de la Mirai est son volume de coffre insuffisant et bien en dessous de la concurrence.
L'AGRÉMENT DE L'ÉLECTRIQUE, LA FACILITÉ DU THERMIQUE
Sur la route, la Mirai est extrêmement confortable et silencieuse.
Capable de bonnes reprises, elle n’est pourtant pas non plus une sportive et il ne faudra pas compter sur le mode sport pour transformer le véhicule, il lui permet seulement d’avoir un comportement un peu plus dynamique.
Avec une autonomie de 650 km, la Mirai promet de beaux déplacements sans soucis. Elle a même établi un record de 1000 km parcourus !
L’avantage de la technologie hydrogène est la rapidité de recharge. En effet, cela prend environ 5 minutes pour refaire le plein.
Je dis bien rapide et non facile car le gros frein aujourd’hui au développement des véhicules à hydrogène en France est l’absence d’infrastructure. Il y a très peu de station sur le territoire, ce qui pose un gros problème pour la recharge du véhicule.
Capable de bonnes reprises, elle n’est pourtant pas non plus une sportive et il ne faudra pas compter sur le mode sport pour transformer le véhicule, il lui permet seulement d’avoir un comportement un peu plus dynamique.
Avec une autonomie de 650 km, la Mirai promet de beaux déplacements sans soucis. Elle a même établi un record de 1000 km parcourus !
L’avantage de la technologie hydrogène est la rapidité de recharge. En effet, cela prend environ 5 minutes pour refaire le plein.
Je dis bien rapide et non facile car le gros frein aujourd’hui au développement des véhicules à hydrogène en France est l’absence d’infrastructure. Il y a très peu de station sur le territoire, ce qui pose un gros problème pour la recharge du véhicule.
LA MIRAI EST-ELLE LE FUTURE ?
Très bien équipée, agréable à conduire, confortable et avec un look moderne et élégant, la Mirai à beaucoup d’atouts pour elle.
Avec une gamme débutant à 72 250 € et culminant à presque 80 000 €, la Mirai fait payer cher sa technologie hydrogène encore peu développée.
Gros frein à sa diffusion, l’absence d’infrastructure au niveau national d’un réseau de recharge hydrogène.
La Mirai obtient une note de 15/20.
Avec une gamme débutant à 72 250 € et culminant à presque 80 000 €, la Mirai fait payer cher sa technologie hydrogène encore peu développée.
Gros frein à sa diffusion, l’absence d’infrastructure au niveau national d’un réseau de recharge hydrogène.
La Mirai obtient une note de 15/20.
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