Le Peugeot Rifter est, depuis 2018, la version familiale de l’utilitaire Partner. A l’origine disponible en essence, diesel et tout électrique, seule cette dernière version reste disponible au catalogue en deux longueurs de carrosseries chacunes disponibles en d5 ou 7 places.
Le Rifter fait partie du quintuor ëBerlingo, Peugeot e-Rifter, Opel Combo-e life, Fiat E-Doblo et Toyota ProAce City.
Après avoir essayé le ëBerlingo, j’ai donc pris le volant du e-Rifter en finition GT dans sa version courte à 5 places afin de la comparer à son cousin.
Le Rifter fait partie du quintuor ëBerlingo, Peugeot e-Rifter, Opel Combo-e life, Fiat E-Doblo et Toyota ProAce City.
Après avoir essayé le ëBerlingo, j’ai donc pris le volant du e-Rifter en finition GT dans sa version courte à 5 places afin de la comparer à son cousin.
UN PEU PLUS AVENTURIER
Les ludospaces ne sont pas les véhicules les plus en vogue du moment du fait de leur manque de sex appeal. Evidemment, le e-Rifter ne déroge pas à la règle…
Cubique, le véhicule ne prend même pas la peine d’essayer de masquer ses origines utilitaires.
Avec quelques inserts en plastique sur les passages de roues et les bas de caisse, le e-Rifter se donne un faux air de baroudeur aventurier, ce qui lui va assez bien.
Sur la face avant, le e-Rifter se trouve dans un entre deux générations de codes stylistiques de la marque, ce qui est un peu dommage. Une calandre plus imposante et la signature lumineuse en forme de grands crocs aux extrémités serait la bienvenue pour lui donner une vraie personnalité.
Malgré tout, le e-Rifter reste le plus séduisant du quintuor avec le look le plus affirmé.
Cubique, le véhicule ne prend même pas la peine d’essayer de masquer ses origines utilitaires.
Avec quelques inserts en plastique sur les passages de roues et les bas de caisse, le e-Rifter se donne un faux air de baroudeur aventurier, ce qui lui va assez bien.
Sur la face avant, le e-Rifter se trouve dans un entre deux générations de codes stylistiques de la marque, ce qui est un peu dommage. Une calandre plus imposante et la signature lumineuse en forme de grands crocs aux extrémités serait la bienvenue pour lui donner une vraie personnalité.
Malgré tout, le e-Rifter reste le plus séduisant du quintuor avec le look le plus affirmé.
C’EST BIEN TRISTE TOUT CA…
Si le ëBerlingo se montre plutôt accueillant et ouvert sur l’extérieur, le e-Rifter est quant à lui beaucoup plus triste et renfermé.
Il ne bénéficie pas du toit vitré et sa planche de bord n’est pas des plus intéressantes.
Lorsqu’on ajoute à cela une finition et une qualité d’assemblage pas plus travaillée que dans la version Partner, cela n’augure rien de bon pour le e-Rifter.
En terme de vie à bord, nous retrouvons la modularité spécifique à ce type de véhicule et un volume intérieur conséquent, ce qui est un très gros avantage pour les familles.
Le petit plus utile est la présence de l’ouverture indépendante de la vitre de coffre arrière pour accéder plus facilement au chargement, utile dans les espaces exiguës car si nous devons ouvrir le hayon complet, il vaut mieux prévoir de la place derrière le véhicule !
A bord, le ludospace Peugeot manque de rangements contrairement à son cousin, ce qui qui le pénalise pour une utilisation familiale.
Autre point noir, le manque de confort des assises qui proviennent clairement de l’univers des utilitaires. Dommage…
Il ne bénéficie pas du toit vitré et sa planche de bord n’est pas des plus intéressantes.
Lorsqu’on ajoute à cela une finition et une qualité d’assemblage pas plus travaillée que dans la version Partner, cela n’augure rien de bon pour le e-Rifter.
En terme de vie à bord, nous retrouvons la modularité spécifique à ce type de véhicule et un volume intérieur conséquent, ce qui est un très gros avantage pour les familles.
Le petit plus utile est la présence de l’ouverture indépendante de la vitre de coffre arrière pour accéder plus facilement au chargement, utile dans les espaces exiguës car si nous devons ouvrir le hayon complet, il vaut mieux prévoir de la place derrière le véhicule !
A bord, le ludospace Peugeot manque de rangements contrairement à son cousin, ce qui qui le pénalise pour une utilisation familiale.
Autre point noir, le manque de confort des assises qui proviennent clairement de l’univers des utilitaires. Dommage…
LE MINIMUM SYNDICAL
Sur le plan de la conduite, le e-Rifter ne fait évidemment pas mieux que le ëBerlingo et se montre extrêmement mou, ne bénéficiant que très peu du couple immédiat de l’électrique.
Le véhicule est lourd et peu agile, sur les routes de campagnes, celui-ci souffre même d’un important roulis dans les virages et sous-vire même un peu, ce qui enlève beaucoup au sentiment de sécurité que l’on peut attendre d’une voiture familiale.
Le véhicule se rattrape un peu grâce à son silence totale de fonctionnement mais cela ne suffit pas à en faire une bonne voiture familiale au quotidien, surtout avec son autonomie très faible ne permettant pas de partir, ne serait-ce que pour un week-end en famille !
Le véhicule est lourd et peu agile, sur les routes de campagnes, celui-ci souffre même d’un important roulis dans les virages et sous-vire même un peu, ce qui enlève beaucoup au sentiment de sécurité que l’on peut attendre d’une voiture familiale.
Le véhicule se rattrape un peu grâce à son silence totale de fonctionnement mais cela ne suffit pas à en faire une bonne voiture familiale au quotidien, surtout avec son autonomie très faible ne permettant pas de partir, ne serait-ce que pour un week-end en famille !
UN CHOIX A FAIRE
lors que les ludospaces sont depuis quelques années tombés en disgrâce au profit des Monospaces puis maintenant des SUV, les quintuor Stellantis ne révolutionne pas le genre et même enfonce le clou avec une autonomie de seulement 280 km en cycle mixte (en réalité moins de 250 km) le cantonnant aux petits trajets quotidiens en famille. Peu pratique en ville avec son gabarit et son grand hayon, il ne semble pleinement à l’aise que… garé dans la cour de la maison !
Avec une gamme débutant à 36 400 € (hors bonus et options, soit 900 € de plus que le ëBelringo) et culminant à 40 850 € (hors bonus et options, soit 1 950 € de moins que le êBerlingo), le e-Rifter n’est clairement pas l’offre la plus adaptée au plus grand nombre actuellement sur le marché.
Il faudra faire un choix pratique en termes de volume plus qu’en termes d’autonomie, qualités de prestations ou autres.
C’est le choix d’un second véhicule.
C’est pour toutes ces raisons que je lui donne la note de 10/20.
Avec une gamme débutant à 36 400 € (hors bonus et options, soit 900 € de plus que le ëBelringo) et culminant à 40 850 € (hors bonus et options, soit 1 950 € de moins que le êBerlingo), le e-Rifter n’est clairement pas l’offre la plus adaptée au plus grand nombre actuellement sur le marché.
Il faudra faire un choix pratique en termes de volume plus qu’en termes d’autonomie, qualités de prestations ou autres.
C’est le choix d’un second véhicule.
C’est pour toutes ces raisons que je lui donne la note de 10/20.
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