Lancé en 2013, le Renault Captur dérive de la Clio 4 et est très rapidement un beau succès commercial pour la marque.
Petit SUV compact, le Captur séduit les afficionados des centre villes voulant prendre un peu de hauteur.
Alors que ma relation avec cette nouvelle génération a débuté bien avant son lancement pour la production de la vidéo d’introduction du modèle, c’est quelques années plus tard avec l’apparition de la version hybride rechargeable que nos chemins se sont recroisés.
Alors que j’avais détesté la boîte automatique et la qualité de finition de la première génération, que vaut cette deuxième génération dans sa version hybride rechargeable ?
Petit SUV compact, le Captur séduit les afficionados des centre villes voulant prendre un peu de hauteur.
Alors que ma relation avec cette nouvelle génération a débuté bien avant son lancement pour la production de la vidéo d’introduction du modèle, c’est quelques années plus tard avec l’apparition de la version hybride rechargeable que nos chemins se sont recroisés.
Alors que j’avais détesté la boîte automatique et la qualité de finition de la première génération, que vaut cette deuxième génération dans sa version hybride rechargeable ?
EVOLUTION SANS REVOLUTION

Un Captur est un Captur ! Il est toujours délicat de renouveler un véhicule à grand succès pour ne pas perturber les acheteurs. Renault a su relever le défi et fait doucement évoluer le look de son capture en lui appliquant les codes Renault sans pour autant révolutionner son apparence globale. Lorsque les deux générations sont côte à côte, les différences sont évidentes mais séparées, l’évolution semble plus subtile.
L’évolution est particulièrement intéressante au niveau de l’éclairage avant et arrière. La nouvelle signature en forme de C à l’avant comme à l’arrière donne un côté beaucoup moins sage, moins consensuel et plus sportif à cette deuxième génération.
La teinte bi-ton présente depuis la première génération, bien avant que ce soit la mode, donne au Captur un côté beaucoup plus cossu, surtout ici en blanc avec toit noir.
Son gabarit global est évidemment compact mais les proportions sont tellement bien équilibrées qu’il paraît presque plus gros qu’il ne l’est réellement.
LE gros bémol en termes de design reste son profil qui est beaucoup trop lisse et trop sage, même s’il reste tout de même légèrement plus moderne que son prédécesseur.
Après trois ans de carrière, une petite évolution stylistique et l’apparition du nouveau logo Renault serait la bienvenue.
L’évolution est particulièrement intéressante au niveau de l’éclairage avant et arrière. La nouvelle signature en forme de C à l’avant comme à l’arrière donne un côté beaucoup moins sage, moins consensuel et plus sportif à cette deuxième génération.
La teinte bi-ton présente depuis la première génération, bien avant que ce soit la mode, donne au Captur un côté beaucoup plus cossu, surtout ici en blanc avec toit noir.
Son gabarit global est évidemment compact mais les proportions sont tellement bien équilibrées qu’il paraît presque plus gros qu’il ne l’est réellement.
LE gros bémol en termes de design reste son profil qui est beaucoup trop lisse et trop sage, même s’il reste tout de même légèrement plus moderne que son prédécesseur.
Après trois ans de carrière, une petite évolution stylistique et l’apparition du nouveau logo Renault serait la bienvenue.
NETTEMENT MIEUX !

A bord de cette deuxième génération de Captur, Renault a clairement redressé la barre et nettement amélioré la qualité de finition et des matériaux utilisés avec un petit bémol sur les plastiques utilisés sur les portières.
Le design de la planche de bord le fait entrer dans la modernité et sa console centrale flottante fait son petit effet !
Autre détail très bien dessiné contribuant à l’aspect plus cossu du Captur : la sellerie. On aime particulièrement le dessin des appuis-tête.
L’écran tactile central positionné verticalement à la façon d’une tablette est peut-être du coup un peu trop présent. Il serait moins gênant s’il était dans ce cas placé plus bas. Le système d’info-divertissement qu’il abrite est quant à lui suffisamment ergonomique pour ne pas trop nous faire quitter les yeux de la route et la dalle, de bonne qualité, répond parfaitement au touché.
En termes de vie à bord, on apprécie la présence de nombreux rangements suffisamment logeables pour toutes vos petites affaires et celles de la famille.
Par contre, l’espace à bord est malheureusement restreint pour un véhicule de ce gabarit et le volume de coffre est bien trop petit pour un SUV.
Le design de la planche de bord le fait entrer dans la modernité et sa console centrale flottante fait son petit effet !
Autre détail très bien dessiné contribuant à l’aspect plus cossu du Captur : la sellerie. On aime particulièrement le dessin des appuis-tête.
L’écran tactile central positionné verticalement à la façon d’une tablette est peut-être du coup un peu trop présent. Il serait moins gênant s’il était dans ce cas placé plus bas. Le système d’info-divertissement qu’il abrite est quant à lui suffisamment ergonomique pour ne pas trop nous faire quitter les yeux de la route et la dalle, de bonne qualité, répond parfaitement au touché.
En termes de vie à bord, on apprécie la présence de nombreux rangements suffisamment logeables pour toutes vos petites affaires et celles de la famille.
Par contre, l’espace à bord est malheureusement restreint pour un véhicule de ce gabarit et le volume de coffre est bien trop petit pour un SUV.
LA FORCE DE L’ELECTRIQUE
Comme évoqué plus haut, là où j'attendais particulièrement le Renault Captur, c’est sur sa boîte de vitesses. Verdict : c’est mieux ! Beaucoup mieux même ! Un peu plus de fluidité en mode thermique est toujours appréciable mais la boîte fait son travail correctement et assure facilement les sollicitations sur grande route. D’ailleurs, sa tenue de route est exemplaire et le petit SUV français n’est que très peu sujet au roulis.
La vraie force du Captur e-tech hybride rechargeable est bien évidemment son utilisation en tout électrique. Dans le mode EV, le Captur est parfaitement maniable dans les petites rues et ce dans un silence royal, dommage que son autonomie soit très limitée car vous ne pourrez parcourir qu’une trentaine de kilomètres en tout électrique, il faudra donc souvent recharger si vous voulez en faire une utilisation quotidienne uniquement en électrique.
La vraie force du Captur e-tech hybride rechargeable est bien évidemment son utilisation en tout électrique. Dans le mode EV, le Captur est parfaitement maniable dans les petites rues et ce dans un silence royal, dommage que son autonomie soit très limitée car vous ne pourrez parcourir qu’une trentaine de kilomètres en tout électrique, il faudra donc souvent recharger si vous voulez en faire une utilisation quotidienne uniquement en électrique.
SOBRE ET EFFICACE
Avec une consommation moyenne observée de 4,6 l/100 km, le Captur se montre très sobre au quotidien (bien qu’il frôle les 10 l/100 km sur autoroute).
Agréable à conduire mais avec une autonomie électrique quotidienne limitée, il faudra bien organiser les trajets et les recharges pour en profiter pleinement.
Avec une gamme débutant à 32 750 € (34 970 € pour notre version d’essai), le Captur se place parmi les moins chères du marché actuel.
Bien plus intéressant que la précédente génération mais encore un peu trop consensuel et avec une consommation élevée sur autoroute pour une autonomie tout électrique réduite, le Captur obtient la note de 12,5/20.
Agréable à conduire mais avec une autonomie électrique quotidienne limitée, il faudra bien organiser les trajets et les recharges pour en profiter pleinement.
Avec une gamme débutant à 32 750 € (34 970 € pour notre version d’essai), le Captur se place parmi les moins chères du marché actuel.
Bien plus intéressant que la précédente génération mais encore un peu trop consensuel et avec une consommation élevée sur autoroute pour une autonomie tout électrique réduite, le Captur obtient la note de 12,5/20.
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