Présentée au Salon de Genève en 2017, la Volkswagen Arteon était la remplaçante de la Volkswagen CC, la version coupé quatre portes de la Volkswagen Passat.
D’abord uniquement disponible en berline, la Arteon est restylée en 2020 et profite de cette mise à jour pour introduire la version Shooting Brake (break de chasse). L’occasion également de bénéficier d’une motorisation hybride rechargeable 1.4 eHybrid de 218 ch dont j’ai pris le volant le temps d’un week-end.
D’abord uniquement disponible en berline, la Arteon est restylée en 2020 et profite de cette mise à jour pour introduire la version Shooting Brake (break de chasse). L’occasion également de bénéficier d’une motorisation hybride rechargeable 1.4 eHybrid de 218 ch dont j’ai pris le volant le temps d’un week-end.
ÉLÉGANTE SPORTIVITÉ
Longue berline très basse et plutôt large, la Arteon Shooting Brake en impose avec son gabarit mais réussit le tour de force de rester très élégante et conserve une ligne très dynamique.
A l’avant, son imposante calandre plongeante traversée par cinq bandes de chrome accentue l’impression d’un véhicule très bas. Les phares semblent se fondre dans la calandre.
Les feux de jours soulignent à la fois les phares mais aussi l’extrémité de la calandre. Sur les versions essence et diesel, la barre LED de feux de jour court de l’aile presque au niveau du passage de roue jusqu’à l’autre côté et basse sous le logo. Sur la version hybride rechargeable, la trappe de recharge étant placée dans la calandre à côté du logo, les designers de Volkswagen ont choisi de simplement souligner les phares avec la bande de LED, celle-ci ne traverse plus la calandre.
De profil, le long break donne une impression d’être très ramassé et sa faible surface vitrée aide à cette impression.
De l’arrière, le hayon légèrement plongeant conserve l’aspect sportif du véhicule.
Comme sur la Volkswagen CC qu’elle remplace, la Arteon dispose de quatre portes sans montant.
A l’avant, son imposante calandre plongeante traversée par cinq bandes de chrome accentue l’impression d’un véhicule très bas. Les phares semblent se fondre dans la calandre.
Les feux de jours soulignent à la fois les phares mais aussi l’extrémité de la calandre. Sur les versions essence et diesel, la barre LED de feux de jour court de l’aile presque au niveau du passage de roue jusqu’à l’autre côté et basse sous le logo. Sur la version hybride rechargeable, la trappe de recharge étant placée dans la calandre à côté du logo, les designers de Volkswagen ont choisi de simplement souligner les phares avec la bande de LED, celle-ci ne traverse plus la calandre.
De profil, le long break donne une impression d’être très ramassé et sa faible surface vitrée aide à cette impression.
De l’arrière, le hayon légèrement plongeant conserve l’aspect sportif du véhicule.
Comme sur la Volkswagen CC qu’elle remplace, la Arteon dispose de quatre portes sans montant.
UN SALON DE COURSE
A bord, l’espace à l’avant est généreux et dans cette finition R-line exclusive, les sièges baquets sont très confortables et parfaitement enveloppants.
L’intégralité des commandes tombe parfaitement sous la main et la position assise très basse est très agréable.
Le gros défaut que je trouve à la Arteon est, comme d’habitude chez Volkswagen, le tout tactile insupportable et ne fonctionnant vraiment pas très bien dans la Arteon. C’est très agaçant et cela laisse des traces de doigts partout !
L’interface d’info-divertissement est comme toujours chez Volkswagen assez fluide et relativement ergonomique. Même si une modernisation et surtout une simplification serait la bienvenue.
A l’arrière, c’est parfait… pour deux ! Le tunnel de transmission est très présent ce qui rend la place du milieu presque inutilisable.
Les deux autres places quant à elles sont très confortables et la banquette étant positionnée très basse avec des sièges bien creusés, l’espace à la tête est très grand, tout comme l’espace aux jambes.
C’est au niveau du coffre que se trouve le plus gros atout de la Arteon, surtout dans sa variante shooting brake. Son volume de chargement est impressionnant et lorsqu’on rabat la banquette, celui-ci devient tout bonnement gargantuesque ! Autant dire qu’il n’aura aucun problème pour transporter l’intégralité des bagages de quatres adultes ne voyageant pas léger !
L’intégralité des commandes tombe parfaitement sous la main et la position assise très basse est très agréable.
Le gros défaut que je trouve à la Arteon est, comme d’habitude chez Volkswagen, le tout tactile insupportable et ne fonctionnant vraiment pas très bien dans la Arteon. C’est très agaçant et cela laisse des traces de doigts partout !
L’interface d’info-divertissement est comme toujours chez Volkswagen assez fluide et relativement ergonomique. Même si une modernisation et surtout une simplification serait la bienvenue.
A l’arrière, c’est parfait… pour deux ! Le tunnel de transmission est très présent ce qui rend la place du milieu presque inutilisable.
Les deux autres places quant à elles sont très confortables et la banquette étant positionnée très basse avec des sièges bien creusés, l’espace à la tête est très grand, tout comme l’espace aux jambes.
C’est au niveau du coffre que se trouve le plus gros atout de la Arteon, surtout dans sa variante shooting brake. Son volume de chargement est impressionnant et lorsqu’on rabat la banquette, celui-ci devient tout bonnement gargantuesque ! Autant dire qu’il n’aura aucun problème pour transporter l’intégralité des bagages de quatres adultes ne voyageant pas léger !
R COMME… RÉSOLUMENT CALME
Sur la route, la Arteon fait preuve d’un grand confort et prend soin de ses passagers dans une atmosphère de sportivité. Le problème, c'est que seule l’atmosphère est sportive.
Les 218ch présent sous le capot grâce au moteur essence de 156 ch couplé au moteur électrique de 115ch ne suffisent pas vraiment à rendre la Arteon véritablement sportive.
Certes, elle sait se montrer dynamique et profite d’une tenue de route exemplaire grâce à son centre très bas mais elle n’est pas une sportive.
Donnée pour une autonomie de 62 km en mode tout électrique, la Arteon Shooting Brake est plus proche des 50 km en utilisation réelle. Suffisant pour des trajets quotidiens mais toujour trop contraignant en terme de recharge pour vraiment en profiter pleinement.
En mode thermique, la Arteon consomme et nous nous retrouvons avec une consommation moyenne de 6,7 L/ 100 km en utilisation mixte.
Les 218ch présent sous le capot grâce au moteur essence de 156 ch couplé au moteur électrique de 115ch ne suffisent pas vraiment à rendre la Arteon véritablement sportive.
Certes, elle sait se montrer dynamique et profite d’une tenue de route exemplaire grâce à son centre très bas mais elle n’est pas une sportive.
Donnée pour une autonomie de 62 km en mode tout électrique, la Arteon Shooting Brake est plus proche des 50 km en utilisation réelle. Suffisant pour des trajets quotidiens mais toujour trop contraignant en terme de recharge pour vraiment en profiter pleinement.
En mode thermique, la Arteon consomme et nous nous retrouvons avec une consommation moyenne de 6,7 L/ 100 km en utilisation mixte.
UNE BELLE AUTO POUR PLAISIR ET FAMILLE
Disponible à partir de 59 690 € et culminant 69 590 € hors options, la Arteon shooting brake se positionne comme un véhicule haut de gamme dont il a les prestations en termes d’équipement, de design et de confort.
Véhicule plaisir mais pas sportif et ami des familles élégantes, la Volkswagen Arteon Shooting Brake hybride rechargeable obtient la note de 14,5/20.
Véhicule plaisir mais pas sportif et ami des familles élégantes, la Volkswagen Arteon Shooting Brake hybride rechargeable obtient la note de 14,5/20.
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